La ministre de la Justice, Stéphanie Vallée a annoncé le 20 juillet dernier qu’une somme de plus de 1,3 million de dollars sera octroyée, en 2017-2018, pour financer un organisme de la région venant en aide aux victimes d’actes criminels, soit le CAVAC Lanaudière.
Cette somme servira à soutenir les activités courantes de l’organisme. Rappelons que le CAVAC propose des services confidentiels et gratuits aux victimes et à leurs proches ainsi qu’aux témoins d’actes criminels.
Il offre notamment des services d’accompagnement au sein du système judiciaire, de l’information sur les droits et recours des victimes, des services d’intervention de nature post-traumatique et psychosociojudiciaire, de l’aide pour remplir certains documents administratifs et des services d’orientation vers des ressources spécialisées.
« Je me réjouis que notre gouvernement investisse dans Lanaudière pour appuyer les organismes venant en aide aux victimes d’actes criminels. Ainsi, la région pourra offrir des services de qualité répondant aux besoins particuliers des victimes dans la région », a précisé par voie de communiqué, le 22 août, Lise Thériault, vice-première ministre, ministre responsable des PME, de l’Allègement réglementaire et du Développement économique régional, ministre responsable de la Condition féminine et ministre responsable de la région de Lanaudière.
« Les sommes que nous mettons à la disposition des organismes venant en aide aux victimes d’actes criminels permettent de soutenir activement les personnes les plus vulnérables de la société, ce qui contribue à la mise en place d’une société plus juste et équitable », a souligné Stéphanie Vallée, ministre de la Justice et Procureure générale du Québec.
Informations complémentaires
Toutes les sommes annoncées proviennent du Fonds d’aide aux victimes d’actes criminels (FAVAC). Ce fonds a été institué au ministère de la Justice du Québec en 1988. Ses revenus proviennent principalement de sommes perçues à la suite d’infractions aux lois pénales québécoises et au Code criminel, ainsi que de sommes liées au partage des produits de la criminalité.