Le candidat du Parti Québécois dans la circonscription de Berthier, André Villeneuve, a présenté, aujourd’hui (le 27 septembre), le bilan de sa campagne électorale.
Un candidat à la rencontre des citoyens et citoyennes
« Du 23 août au 26 septembre, j’ai rencontré 24 organismes de la circonscription, visité 55 entreprises, 31 groupes de citoyens et citoyennes. J’ai assisté à 29 événements et toutes les municipalités du territoire furent visitées. Je peux donc affirmer que j’ai rencontré des milliers de personnes avec qui j’ai discuté de politique ou pour mieux connaître leurs besoins », a précisé André Villeneuve.
Présenter et expliquer les propositions et les engagements du Parti Québécois
« Outre les rencontres directes avec les citoyens et citoyennes, j’ai tenu une conférence de presse par semaine afin de présenter et d’expliquer les propositions et les engagements du Parti Québécois. J’en ai aussi profité pour illustrer ce qui différencie nos propositions de celles des autres formations politiques. C’est ainsi que les électeurs et les électrices peuvent se faire une opinion, comprendre certains enjeux et aller plus loin que les slogans », a mentionné André Villeneuve.
Un choix parmi deux visions différentes de notre avenir
La présente campagne électorale nous prouve hors de tout doute que la CAQ et le PLQ, c’est du pareil au même. Selon le candidat péquiste, la population de la circonscription de Berthier doit bien comprendre que la façon de « gérer » l’État québécois par ces formations politiques risque de nous amener au même résultat. « Une multitude de promesses qui nous conduiront, encore une fois, à des mesures d’austérité. D’ailleurs, seul le cadre financier du Parti Québécois respecte les recommandations de la vérificatrice générale du Québec. Ce qui nous distingue, c’est que nous voulons un État fort au service de la population. Un État rigoureux, mais empathique et efficace ».
Entre autres :
En santé, c’est geler la hausse des salaires des médecins pour injecter ces milliards$ dans le réseau de la santé. Des CLSC ouverts 7 jours sur 7, de 9h à 21h, avec la présence de super-infirmières. Mettre à contribution les 200 000 professionnels de la santé. Investir massivement pour le maintien à domicile de nos aînés. Rehausser le financement des organismes communautaires, de façon récurrente et cumulative.
En éducation, c’est d’en faire la priorité nationale. Investir pour rénover nos écoles (27 des 34 écoles de la circonscription sont en mauvais ou très mauvais état). Embaucher les professionnels nécessaires pour la réussite de nos enfants, du CPE jusqu’à l’université. Lancer un vaste chantier d’alphabétisation. Compléter le réseau des CPE afin qu’il n’y ait plus de liste d’attente.
En agriculture, c’est de redonner la place qui lui revient. Bonifier et modifier les programmes pour la relève agricole. Soutenir nos différentes filières. Augmenter les budgets pour la production bio. Protéger nos terres agricoles contre l’accaparement des terres. Déplafonner le budget du programme de crédit de taxes tant qu’il n’y aura pas d’entente entre les agriculteurs, les municipalités et le gouvernement pour une réforme de la fiscalité foncière; le budget du programme augmentera selon les besoins sans être limité. Relancer l’objectif de souveraineté alimentaire. Défendre la gestion de l’offre pour nos producteurs laitiers et nos fromagers.
Pour la langue française, le Parti Québécois propose une loi 202 qui prévoit notamment d’exiger que 100% des futurs immigrants et leur conjoint ou conjointe ne soient admis sur le territoire que s’ils démontrent une connaissance suffisante du français. Étendre la loi 101 aux entreprises de 25 à 50 employés.
En immigration et la pénurie de main-d’oeuvre, pour une évaluation réaliste, flexible, et dépolitisée des seuils d’immigration nécessaires, le Parti Québécois confiera au vérificateur général, assisté par l’Institut de la statistique du Québec ainsi que par des experts en démographie, en emploi et en intégration, le mandat de recommander le nombre d’immigrants que le Québec devrait accueillir. 100% des immigrants devront maîtriser un français intermédiaire avant leur arrivée et 25% devront s’installer en région.
Pour nos entrepreneurs, réduire la paperasse de façon significative. Mettre fin au zèle de Revenu Québec. Favoriser le transfert des entreprises entre les générations. Mieux accompagner les entreprises qui veulent exporter.
En environnement, selon Annie Chaloux , professeure adjointe à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke, c’est le Parti Québécois qui offre le plan le plus sérieux et le plus crédible!
Pour internet haute-vitesse, nous avons un plan bien précis pour faire en sorte que la popu
lation québécoise et les entreprises soient branchées à internet haute-vitesse une fois pour toute!
Des engagements locaux
La campagne électorale fut aussi l’occasion de faire des engagements locaux. « Rebâtir les deux ponts à Berthierville. Compléter la route 3 et la route 9. Réaliser le projet de résidence pour aînés à Saint-Côme et faire en sorte que les agriculteurs inondés soient compensés financièrement. D’ailleurs, tous mes engagements ont été approuvés par les instances du Parti », a déclaré André Villeneuve.
Appel au vote
« La campagne électorale est un exercice démocratique qui permet à la population de choisir le candidat et le gouvernement qui les représenteront pour les prochaines années. Le Parti Québécois vous offre un gouvernement qui prendra soin de son monde, et ce, avec des propositions concrètes et crédibles. Il n’y aura pas de promesses aussi paradoxales qu’à la CAQ qui promet, entre autres, de couper 1,4 milliards$ dans le réseau de l’éducation en baissant la taxe scolaire tout en promettant d’améliorer les services. Que dire de ses propositions en immigration! Bref, une vision strictement comptable et brouillon à la François Legault ou une approche pour prendre soin de nos aînés, de nos familles, de nos agriculteurs, de nos entrepreneurs, de notre environnement et de notre langue française. Les électeurs et les électrices de la circonscription de Berthier auront un choix parmi deux visions différentes de notre avenir », a conclu André Villeneuve.