Les échappatoires fiscales permettent aux milliardaires de faire des profits records et de fuir leurs responsabilités. Aujourd’hui, le NPD a réaffirmé son intention de mettre fin à cette pratique et de faire payer aux ultra-riches leur juste part.
La candidate néo-démocrate de Berthier—Maskinongé, Ruth Ellen Brosseau accueille cette annonce en disant que les gens d’ici méritent un gouvernement qui osera demander aux ultra-riches de faire leur part afin de financer les services dont les familles ont besoin.
« Durant la pandémie, j’ai vu des familles dans Berthier—Maskinongé qui en arrachaient. Au même moment les milliardaires et les grandes entreprises accumulaient les profits. Les libéraux comme les conservateurs n’ont pas eu le courage politique pour mettre fin aux échappatoires fiscales. On doit mettre fin à ces passe-droits qui nous appauvrissent individuellement et collectivement. C’est pourquoi le NPD propose de s’attaquer à l’évasion fiscale et de rediriger les sommes récoltées dans l’amélioration des services aux gens et aider ceux qui en ont besoin. » a déclaré Mme Brosseau.
Pendant que dans Berthier—Maskinongé les gens sont de plus en plus nombreux à avoir de la difficulté à payer leurs factures, acheter leurs médicaments ou trouver un logement à prix abordable, les grandes entreprises et leurs dirigeants ont pu utiliser les échappatoires fiscales afin d’éviter de devoir payer des milliards de dollars en impôt. L’année précédant l’élection de Justin Trudeau au poste de premier ministre, les grandes entreprises canadiennes ont évité de payer près de 10 milliards de dollars en impôts.
« Les gens de Berthier—Maskinongé s’attendent à ce que leur gouvernement soit de leur bord, à ce que leur député s’engage à lutter fermement pour mettre fin aux injustices, a déclaré Mme Brosseau. On doit en finir avec les échappatoires fiscales et vous pouvez compter sur moi pour être de votre bord et défendre vos intérêts dans ce dossier. » a conclu la candidate néo-démocrate.
Le NPD s’engage à renforcer l’application de la loi, en investissant 100 millions de dollars dans l’Agence du revenu du Canada pour qu’elle dispose du personnel et des outils nécessaires pour sévir contre les riches fraudeurs fiscaux.
