« Le Bonhomme sept heures / The Bonesetter » : une fusion rafraîchissante Québec/Irlande

Photo courtoisie

Le trio de musique traditionnelle Grosse Isle lance son nouvel album « Le Bonhomme sept heures / The Bonesetter » à une date très symbolique : 17 mars, fête de la St-Patrick célébrée dans le monde entier.

Un lancement virtuel sur Facebook, en formule 5 à 7, permettra de découvrir quelques nouvelles chansons de cet album. Ce groupe fusionne le répertoire québécois et le répertoire irlandais de façon magistrale. Fusion absolument magique grâce notamment à l’union, dans la vraie vie, de Sophie Lavoie du Lac-St-Jean et Fiachra O’Regan d’Irlande. Le légendaire André Marchand (La Bottine Souriante, Les Charbonniers de l’Enfer) fait aussi partie de ce talentueux trio. L’album sera en vente dès le 12 mars.

Le duo Sophie & Fiachra, qui a réalisé plusieurs tournées internationales, a fait paraître les albums Un Canadien errant en 2016 et Portraits en 2018 (nomination à l’ADISQ) avec la collaboration d’André Marchand. Le Bonhomme sept heures/ The Bonesetter est la première création du trio en tant que Grosse Isle. « André apporte une couleur unique. Nous partageons les mêmes goûts et le même grand respect pour la musique. Il y a une réelle symbiose entre nous trois », explique Sophie Lavoie.

Ce nouvel album se distingue grâce à une instrumentation très variée : uilleann pipes et whistle d’Irlande, banjo, violon, piano et guitare. « Chaque pièce est un monde à part entière. Nous voyageons du Québec à l’Irlande, le rythme est plus doux ou plus festif… Les gens ne reconnaîtront pas la musique traditionnelle québécoise typique, ils découvriront plutôt une musique aux 1001 facettes », ajoute Fiachra O’Regan.

Parmi les pièces de l’album notamment : Dans Paris à l’Orient interprétée par André Marchand qui porte sur les regrets d’une vie, Le bonhomme et la bonne femme, chanson très significative de La Bolduc qui avait un père irlandais, et la magnifique chanson Les tailleurs de pierre avec la collaboration spéciale de Michel Faubert.

Le titre Le Bonhomme sept heures a été choisi parce qu’il est lié de près à la culture et l’imaginaire collectif québécois tout en ayant possiblement un lien avec l’expression anglophone « bone setter » selon la croyance populaire. Voilà un mélange francophone et anglophone à l’image du groupe. Le nom du trio, Grosse Isle, fait référence à l’histoire de l’arrivée massive d’Irlandais au 19e siècle, qui fuyaient la Grande Famine. Ils étaient mis en quarantaine sur la Grosse Île, dans le fleuve Saint-Laurent, avant d’entrer au pays. C’est une rencontre marquante entre deux peuples et deux cultures.

Dans un contexte bien particulier, le trio a réalisé cet hiver ses premières apparitions dans le cadre des conférences internationales APAP-NYC (Association of performing arts professionals) et Folk Alliance International étant invité à y réaliser des performances virtuelles. Le développement des marchés québécois et international se poursuivra grâce à ce troisième album de haut niveau!

Le Bonhomme sept heures / The Bonesetter par Grosse Isle (La Compagnie du Nord, CIE006)

 

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