Le bonheur est un sujet qui a toujours passionné les philosophes, mais également interpelé chaque être humain. Est-ce qu’il existe ? Comment peut-on l’atteindre ? Est-ce que tout le monde y a droit ? Étudions ces questions ensemble.
Pour commencer, de quelle catégorie faites-vous partie (prenez quelques minutes pour y réfléchir) :
- Celle qui pense que l’on est sur Terre pour souffrir et qui souffre ?
- Celle qui pense que le bonheur existe, mais ce n’est pas pour elle ?
- Celle qui a construit ou qui construit son bonheur et sait le maintenir ?
Est-ce que le bonheur existe ?
Il est important de valider si un objectif est « atteignable et réalisable » afin d’investir votre énergie et poser les gestes nécessaires pour l’atteindre. Pour commencer, il faut y croire. Personnellement, à l’origine, ce n’était pas ma quête. Me retrouvant dans un chaos épouvantable, des souffrances insupportables, mon but était surtout de fuir cette douleur immense qu’est l’anxiété. Si vous êtes au fond de l’océan et que vous voulez survivre, il faut apprendre à nager pour remonter. Je n’avais aucune stratégie, aucun but précis : je voulais juste sortir de la tempête. Bizarrement, tout s’est écroulé alors que je pensais être arrivée en « Terre promise », à 40 ans, m’installant au Québec pour une nouvelle vie, certaine de repartir du bon pied. Ma vie s’était déjà effritée en France, j’ai pensé échapper à la catastrophe en changeant de pays. Quelques mois après mon arrivée, le sol s’est totalement dérobé sous mes pieds : plus rien ne tenait debout, même pas moi ! Une phrase tournait en boucle dans ma tête : « Ils n’auront pas ma peau ». Je me suis battue pour sortir de l’anxiété en reconstruisant ma vie (du chaos jaillit la lumière !) et, petit à petit, j’ai gagné du terrain. J’ai cru que la meilleure des situations, c’est quand il ne pleut plus, après la tempête. Et si je l’avais pu, j’aurais arrêté ma progression à cette « météo ». Au jeu du « quitte ou double », j’aurais dit « quitte ». Heureusement que la vie en a décidé autrement : au fur et à mesure que je gagnais en confiance, j’ai compris que le bonheur, c’est quand il fait grand soleil. Beau et chaud ! J’ai pris goût à la sérénité que je ressentais au fond de moi : j’ai commencé à étudier comment j’étais arrivée à ce bonheur, fuyant le malheur, et, surtout, comment maintenir ce bien-être intérieur. J’en ai fait un métier ! Et je vous certifie que le bonheur existe. Venez passer une semaine avec moi en coaching VIP et je vous le démontrerais. Vous découvrirez que le bonheur est bien plus simple que vous ne le pensez.
Comment atteindre le bonheur ?
Vous ne méritez pas le malheur qui vous tombe dessus par mauvaises programmations : mal encadré (ou pas encadré du tout !) dans votre enfance et ayant vécu des événements souffrants, votre cerveau a enregistré de mauvaises informations et vous a envoyé dans la mauvaise direction. Le bonheur, lui, se mérite : il faut se retrousser les manches et aller le chercher. Le bonheur et la paix ont un prix, quand vous êtes déterminé à y accéder. Une fois conquis, ils n’ont plus de prix et il suffit de les préserver. Je le clame souvent dans toutes mes interventions : tous les maux des êtres humains, excluant les problèmes de santé mentale, reposent sur le manque de confiance et d’estime. Dépourvu de ces deux éléments essentiels, votre vie s’écroule comme un parcours de dominos : quand le premier tombe et fait tomber tous ceux qui sont derrière lui. À l’inverse, imaginez que vous releviez le dernier tombé et qu’il redresse tous les autres ? C’est aussi simple que cela et point n’est besoin de grandes théories ni de calculs savants : vous devrez votre salut à la confiance que vous placerez en vous et si elle est faible dans certains domaines ou dans tous, le premier domino se relèvera quand vous l’aurez « musclée ». La confiance en vous et l’estime de vous sont les piliers d’une vie heureuse et réussie. Et quand j’écris « une vie réussie », je n’évoque pas l’argent. Je parle de vivre dans la bienveillance, dans l’amour et l’amitié, d’être riche de sérénité et d’être connecté à soi-même pour être connecté aux autres. L’argent étant une belle reconnaissance de votre travail, mais pas un objectif, sinon, vous êtes corrompu.
Est-ce que tout le monde a droit au bonheur ?
Question délicate… J’aurais envie de répondre « oui ». Cependant, je vous laisse apporter un bémol en exposant ce qui suit. Il y a une différence entre « mériter » et « avoir droit ». Celui qui pense mériter le bonheur se retrousse les manches pour l’atteindre et a toutes les chances de réussir. La bonne nouvelle : peu importe votre passé, vous pouvez vous prendre en main et reconstruire ce qui ne l’a pas été dans votre enfance. Quant à y avoir droit, c’est une autre « paire de manches » … Étant donné qu’il faut penser pouvoir y avoir accès pour s’engager dans la démarche, que faire de ceux qui pensent qu’il n’existe pas ou encore de ceux qui pensent qu’il existe, mais pas dans leur cas ? Le bonheur ne tombe pas du Ciel, ce n’est ni une loterie ni une tombola. Et heureusement ! Car s’il s’agissait uniquement d’un jeu de hasard, nous n’aurions plus aucune action sur notre vie, acceptant notre sort sans broncher. En fait, les personnes se positionnant en victimes ne se battent pas : elles préfèrent se plaindre et rejeter la faute sur les autres. Et sur les parents en priorité. Nourrissant des émotions négatives à longueur de journée, elles ne réalisent pas qu’elles pourrissent de l’intérieur. Une autre catégorie de la population ne s’en prend pas aux autres, mais à elle-même, se blâmant, se dénigrant et servant de punching-ball à ceux qui sont aigris et décourageant ceux qui veulent les pousser à se respecter.
Le bonheur est une affaire de confiance en soi reposant sur la croyance que vous le méritez. Quand j’ai vu le soleil filtrer à travers les nuages, j’ai su que c’est le grand beau temps que je voulais. J’ai les deux pieds dedans depuis de nombreuses années et rien ni personne ne pourra m’en déloger. Je vous souhaite d’accoster sur les rivages qui vous rendront le plus heureux. Personnellement, j’ai trouvé les miens.
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Pascale Piquet, la spécialiste de la dépendance affective et du bonheur !