La MRC de Joliette récompensée pour sa performance en gestion des matières résiduelles

Sur la photo, de gauche à droite: Alain Bellemare, préfet de la MRC de Joliette; Sonia Gagné, présidente directrice générale de RECYC-QUÉBEC; Marie-Christine Filteau, coordonnatrice à la gestion des matières résiduelles de la MRC de Joliette; Nicolas Juneau, directeur de la Direction des matières résiduelles du MELCC,; Christiane Pelchat, présidente directrice générale de Réseau Environnement; Marie-Caroline Bourg, vice-présidente du secteur Matières résiduelles de Réseau Environnement; André Carange, président du conseil d'administration de Réseau Environnement.

Lors du 20e Colloque sur la gestion des matières résiduelles qui a eu lieu les 13 et 14 novembre dernier à Lévis, la MRC de Joliette a été récompensée dans le cadre de la première cérémonie du programme de reconnaissance GMR-PRO.

Seulement 11 municipalités, MRC ou Régies ont été récompensées par des attestations GMR-PRO au Québec. Ce programme permet, aux moyens d’indicateurs définis avec les gestionnaires municipaux, d’évaluer la performance des organismes municipaux au cours de l’année écoulée, avec comme objectif de dépasser les objectifs fixés par la politique québécoise en vigueur. Cette cérémonie récompensait les efforts déployés en 2017.

La MRC de Joliette s’est démarquée notamment par ses actions de sensibilisation et d’éducation sur le terrain, par les différents services offerts en gestion des matières résiduelles, par ses performances au niveau du taux de valorisation des matières recyclables et organiques et de par ses quantités de matières résiduelles éliminées qui sont en-dessous de la moyenne québécoise.

À l’issue de la remise de cette reconnaissance, M. Alain Bellemare, préfet de la MRC de Joliette a affirmé : « Mes collègues du conseil des maires ainsi que l’ensemble de l’équipe de la MRC de Joliette et moi, sommes touchés de savoir que les efforts déployés pour réaliser notre travail et atteindre les objectifs de notre plan de gestion des matières résiduelles soient reconnus par les professionnels du milieu.»