La Société Saint-Vincent-de-Paul de Joliette (SSVP) a procédé, le 5 novembre, au lancement de sa guignolée 2018.
« Chaque mois, la SSVP reçoit en moyenne plus de 300 demandes d’aide, Lorsqu’arrive le mois de décembre, nous bureau d’entraide devient encore plus sollicité. Nous avons traité 1474 demandes durant la guignolée de l’an dernier », a expliqué en conférence de presse, France Comtois, coordonnatrice du Bureau d’Entraide SSVP.
Pour cette année, l’objectif est d’amasser 150 000$. En 2017, la Guignolée avait récolté 105 062$ en argent et 43 397$ en denrées.
« Même si on entend de ce temps-ci que l’économie « roule » très bien, qu’il y a pénurie de main-d’œuvre dans la région et que le taux de chômage est à son plus bas, il y aura toujours des personnes plus malchanceuse et moins privilégiées par la vie pour une multitude de raison », a précisé Mario Vadnais, président de la SSVP.
Ainsi, du 22 au 24 novembre, il y aura une guignolée au Métro Bélair. Par le publisac pour le Grand Joliette et Crabtree, ça sera le 28 novembre.
Pour faire une demande
Du 26 novembre au 6 décembre, la SSVP prendra les appels pour les inscriptions concernant les bons ou les paniers de Noël via le 450-759-4862.
La personne doit être prestataire de l’aide sociale ou à faible revenu et elle doit être âgée de 18 ans ou plus. Une preuve de revenu sera exigée «(Ex : carnet de réclamation de l’aide sociale) ainsi qu’une preuve de résidence.
La SSVP répond pour le grand Joliette, soit Joliette, Notre-Dame-des-Prairies, Saint-Charles-Borromée et Crabtree.
Pour être inscrite, la personne doit absolument parler à une réceptionniste (il n’y aura pas de boîte vocale). Il est aussi obligatoire que ce soit la personne qui fait la demande qui téléphone elle-même car lors de l’inscription, la SSVP vérifiera des informations personnelles et fixera un rendez-vous.
Il est aussi très important d’avoir un papier et un crayon afin de bien noter le rendez-vous car il n’y aura pas de date de reprise.
« À la Chambre de Commerce du Grand Joliette (CCGJ), nous sommes sensibles à la cause de la Société Saint-Vincent-de-Paul et c’est pourquoi nous avons décidé encore cette année de nous impliquer » a précisé Guy Bénard, président de la CCGJ.