Kevin Perreault-Dubuc arrêté

Photo courtoisie

L’individu qui s’est évadé du CHDL, le 22 janvier, a finalement été arrêté trois jours après le début de sa cavale.

Kevin Perreault-Dubuc, 21 ans, a été arrêté sur l’heure du midi, le 25 janvier, dans un logement de la rue Alphonse-Durand à Joliette, par les policiers de la Sûreté du Québec. Le groupe tactique d’intervention est venu en assistance pour procéder à son arrestation.

Une femme et un homme, tous deux âgés de 22 ans de Joliette, ont été arrêtés pour complicité. Ils ont été libérés par voie de sommation. Ce sont des informations reçues du public qui ont permis son arrestation.

Le 21 janvier, un juge de la Cour du Québec avait ordonné qu’il subisse une évaluation psychiatrique afin de déterminer l’aptitude de l’accusé à subir son procès.

Suite à son évasion, il était aussi suspecté d’avoir menacé certaines personnes en relation avec le dossier pour lequel il faisait l’objet d’une détention. 

Kevin Dubuc-Perreault mesure environ 1,65 m (5 pi 5 po) et pèse environ 64 kg (141 lb). Il a les cheveux bruns rasés et les yeux pers. Il aussi tatouages sur l’avant-bras droit (signe chinois) et une étoile sur le poignet gauche.

Rappelons que Kevin Dubuc-Perreault avait été arrêté, après une poursuite à pied par le Service de police de Terrebonne, quelques heures après  une agression survenue dans un bar de Joliette, le 17 janvier dernier.

« Une altercation serait survenue entre quatre individus dans un établissement licencié de la rue Lajoie Sud. Deux hommes auraient été agressés avec une arme blanche. Ils ont été transportés au centre hospitalier. On ne craint pas pour leur vie », avait alors expliqué la Sûreté du Québec.

Kevin Dubuc-Perreault est accusé de deux chefs d’agression armée, deux de voie de fait causant des lésions, un chef de menace de mort et entrave à un agent de la paix pour les incidents du 17 janvier. Il doit aussi répondre à cinq chefs de bris de probation. Il  fait aussi face à deux chefs de menace de mort et un d’entrave à un agent de la paix concernant des évènements survenu le 15 et le 18 janvier à Joliette et à Mascouche.

Il va comparaître par voie téléphonique en fin de journée. Il devrait également être accusé d’avoir proféré des menaces durant la période de liberté illégale.