Cabinet fantôme du Parti Québécois: d’importantes responsabilités pour Véronique Hivon

Photo courtoisie

« Une 4e assermentation et toujours aussi émue. Je veux dire merci aux gens de Joliette pour leur confiance et leur fidélité. Je suis si fière de les représenter! Chaque jour, je ferai tout pour être à la hauteur de leurs attentes et de leurs aspirations », a déclaré Véronique Hivon, en marge de son assermentation au Salon rouge de l’Assemblée nationale du Québec, vendredi dernier.

Familles, amis, collègues et anciens collègues étaient réunis nombreux pour l’occasion, applaudissant chaleureusement le groupe de député.e.s qui se sont engagés à défendre bec et ongles les intérêts des Québécoises et des Québécois, à être une voix forte à l’assemblée nationale.

Dans la foulée, le chef intérimaire du Parti Québécois, Pascal Bérubé, a dévoilé en début de semaine les responsabilités parlementaires des membres du caucus. Véronique Hivon s’est ainsi vu confier les fonctions névralgiques de porte-parole en matière d’Éducation, de Justice, de Famille, de Relations Québec-Canada, d’Accès à l’information et de Soins de fin de vie.

« Je suis ravie et très enthousiaste à l’idée d’exercer ces responsabilités dans l’équipe du Parti Québécois! Je travaillerai toujours de manière déterminée et constructive, dans l’intérêt supérieur de tous les Québécois, pour ces enjeux importants. Oui, je vais talonner le gouvernement lorsqu’il le faudra, surveiller son action, mais comptez aussi sur moi pour collaborer et proposer, dans un esprit constructif, question de faire avancer les dossiers qui nous tiennent à cœur », a souligné la députée de Joliette.

Véronique Hivon demeure très active à son bureau de circonscription, avec son équipe, et s’attèle déjà aux dossiers prioritaires pour la circonscription et la région de Lanaudière, soit l’équité et l’accessibilité aux soins de santé, l’éducation avec notamment la rénovation et l’ajout de classe dans les écoles, les questions liées au transport et la situation des agriculteurs, heurtés par la brèche créée à la suite de la renégociation de l’ALENA. « Nous avons du pain sur la planche. Je poursuis le travail, avec la même énergie qu’au premier jour! », de conclure la députée de Joliette.