Gabriel Ste-Marie dépose officiellement sa candidature pour les élections fédérales

Photo courtoisie

Les élections fédérales ont été déclenchées le 15 août dernier. Le député bloquiste de la circonscription de Joliette, Gabriel Ste-Marie, accompagné de Jimmy Armstrong, agent officiel de sa campagne ont déposé officiellement sa candidature pour les élections fédérales.

Il a fait le saut en politique en 2015 et a forgé sa place à Ottawa comme porte-parole du Bloc Québécois en matière de finances, puis a siégé au Comité permanent des finances à titre de vice-président.

Accomplissements

Depuis son arrivée à Ottawa, il fait des paradis fiscaux son cheval de bataille et porte également le projet de loi du Bloc Québécois qui vise à obtenir un rapport d’impôt unique administré par le Québec. Le député fédéral sortant de Joliette souhaite continuer à s’impliquer en politique, être à l’écoute de sa population et être le porte-voix de sa circonscription.

En parallèle, il a défendu les producteurs sous la gestion de l’offre du Québec et s’est rendu à Washington pour coaliser des appuis aux industries québécoises de l’aluminium aux États-Unis. Avec la pandémie, M. Ste-Marie s’est illustré en concentrant ses efforts sur l’élaboration de programmes d’aide destinés aux citoyens et aux entreprises durement touchées par le contexte.

Le candidat est un élu de tête et de cœur. Avec les années, il a mis en place différentes initiatives, dont la Fête des Patriotes, le bureau mobile du député, le bottin annuel des organismes communautaires, la promotion de l’électrification des transports et la conférence sur la lutte aux changements climatiques. Son objectif est de rallier avant tout les citoyens autour de projets rassembleurs. « Dans la circonscription de Joliette, on a des entreprises, de l’agriculture, des zones urbaines et plusieurs enjeux s’y rattachent. Il reste encore plusieurs grandes batailles à mener pour la justice fiscale, les premières nations, les entreprises et le développement régional. Je demande aux gens de ma circonscription de me donner l’opportunité de les représenter et me faire confiance à nouveau », souligne-t-il.

L’adversaire, c’est la COVID-19

Le candidat comme l’ensemble du Bloc Québécois estime qu’il s’agit d’une décision irresponsable de Justin Trudeau de déclencher des élections fédérales, alors que la situation sanitaire est encore fragile en raison du variant Delta, puis du début de la quatrième vague. « Les Québécois sont catégoriques : ce n’est pas un bon moment pour tenir une élection. Malgré le contexte particulier, nous sommes prêts. Le Bloc Québécois a fait des gains substantiels pour le Québec et sans l’apport des 32 députés du parti à Ottawa, plusieurs enjeux auraient été mis de côté à l’ordre du jour des Communes. Nous voulons continuer à travailler pour les Québécois et défendre leurs intérêts. », appuie le candidat bloquiste.

Le candidat rappelle que la pandémie est toujours active et que la prudence est de mise. Il se dit toutefois motivé, déterminé et prêt à se rendre sur le terrain pour aller à la rencontre de petits groupes, entreprises et citoyens. Les différentes mesures sanitaires émises par la Santé publique seront respectées, dont la distanciation sociale et le port du masque. Avec le contexte, il n’y aura pas de local électoral cette année. Soulignons que le candidat a déposé ses signatures et se dit fébrile de reprendre peu à peu des évènements en présentiel et de renouer avec les gens de sa circonscription.

Le Bloc Québécois fait la différence

Au cours de son dernier mandat, le parti a réalisé différents gains qui ont permis d’améliorer les mesures de gestion de la pandémie, dont la subvention salariale et la gestion de la frontière. Également, le Bloc Québécois a assuré un meilleur soutien aux producteurs sous gestion de l’offre et à l’économie des régions du Québec.

Le parti a permis de renforcer la langue française obtenant l’appui du Parlement pour l’application de la Charte de la langue française aux entreprises sous juridiction fédérale. Grâce aux démarches des bloquistes, la Chambre des communes s’est ralliée en faveur d’une hausse de la pension de vieillesse de 110$ pour tous les 65 ans et le projet de Loi Émilie Sansfaçon a obtenu l’appui des parlementaires. Celui-ci consiste à faire passer les prestations d’assurance-emploi en cas de maladie grave à 50 semaines.

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